Stage dans les Hautes Alpes en direct
Modérateurs : Comité Directeur, Adhérents
Stage dans les Hautes Alpes en direct
Journée du samedi 31/07/04
La journée commence à minuit dans le minibus vers Fleury en Bière et se terminera 24h plus tard sur la vague du Rabioux.
Entre temps, les passagers ont eu le droit à une « bonne » nuit de sommeil dans le minibus. Notons, au passage, que la partie la plus confortable du master est certainement le plancher. En effet nombreux sont ceux qui, à tour de rôle, ont pu s’offrir une tranche de rêve allongé là. Le chauffeur principal (il a en fait conduit pendant presque toute la nuit), quant à lui, n’a pas failli à sa tâche et nous a mené à bon port sans embûche à part quelques bouchons à Villefranche à 3h du matin.
A 8 heure arrivée sur la parking de l’intermarché d’Embrun (fermé) alors Jérôme lance l’idée d’un Mc Morning mais là encore : Fermé ! Il nous restait alors 20 minutes avant l’ouverture de l’inter : juste le temps de préparer une liste de course en bonne et due forme… Une heure plus tard nous nous offrons un petit déj bien mérité avant de se lancer dans le montage du camp. Après une sieste (notre chauffeur en chef en avait bien besoin…), nous mettons les bateaux à l’eau au niveau de la vague du Rabioux pour une descente jusqu’à Embrun. Cette descente s’est passée sans problème notable, mis à part quelques bains dont l’un gracieusement offert par un certain S. B. … qui d’ailleurs s’offrira une pagaie à 230 €. On l’aurait entendu dire : « c’est de la faute de cette foutue pagaie si j’ai déssalé !!! »
Nous finissons la journée par un bon repas (brochettes et saucisses sans barbecue – arrêté préfectoral du 1er juillet 2004 oblige – ). Puis, à 22 h, nous nous couchons tous… Tous ?? En fait ce n’est pas tout à fait exact ! Le grand sorcier Adama avait décidé de jouer les prolongations sur la vague du Rabioux. Et ce jusqu’à extinction du spot à minuit…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
La journée commence à minuit dans le minibus vers Fleury en Bière et se terminera 24h plus tard sur la vague du Rabioux.
Entre temps, les passagers ont eu le droit à une « bonne » nuit de sommeil dans le minibus. Notons, au passage, que la partie la plus confortable du master est certainement le plancher. En effet nombreux sont ceux qui, à tour de rôle, ont pu s’offrir une tranche de rêve allongé là. Le chauffeur principal (il a en fait conduit pendant presque toute la nuit), quant à lui, n’a pas failli à sa tâche et nous a mené à bon port sans embûche à part quelques bouchons à Villefranche à 3h du matin.
A 8 heure arrivée sur la parking de l’intermarché d’Embrun (fermé) alors Jérôme lance l’idée d’un Mc Morning mais là encore : Fermé ! Il nous restait alors 20 minutes avant l’ouverture de l’inter : juste le temps de préparer une liste de course en bonne et due forme… Une heure plus tard nous nous offrons un petit déj bien mérité avant de se lancer dans le montage du camp. Après une sieste (notre chauffeur en chef en avait bien besoin…), nous mettons les bateaux à l’eau au niveau de la vague du Rabioux pour une descente jusqu’à Embrun. Cette descente s’est passée sans problème notable, mis à part quelques bains dont l’un gracieusement offert par un certain S. B. … qui d’ailleurs s’offrira une pagaie à 230 €. On l’aurait entendu dire : « c’est de la faute de cette foutue pagaie si j’ai déssalé !!! »
Nous finissons la journée par un bon repas (brochettes et saucisses sans barbecue – arrêté préfectoral du 1er juillet 2004 oblige – ). Puis, à 22 h, nous nous couchons tous… Tous ?? En fait ce n’est pas tout à fait exact ! Le grand sorcier Adama avait décidé de jouer les prolongations sur la vague du Rabioux. Et ce jusqu’à extinction du spot à minuit…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Journée du dimanche 01/08/04
La journée commence par un réveil tardif, certains attaquent directement par le p'tit dej, d'autres par aller voir le niveau du Rabioux (Adama et Stephan). Mais finalement ces derniers, tout fainéants qu'ils sont, n'ont même pas pris la peine de mettre leur bateau à l'eau ; alors que les gourmands, eux, se sont décidés à descendre la Durance de St Clément au Rabioux. Petite descente sympa avec départ à l'américaine de 5 mètres de haut pour les "pieds Nickelés" et quelques bains (autant que de portefeuilles) pour les deux doyens de l'expédition, Gérard et Pierre.
Après une petite collation, départ pour le Guil mais sans les baigneurs qui ont préféré travailler leur esquimautage. Nos deux freestylers (vous vous souvenez : les fainéants du matin…) décident de descendre le passage du tunnel : l’un perd sa pagaie achetée la veille (cf Journée du samedi 31/07/04, pas de panique Mimi, on a récupéré la pagaie) l’autre, même s’il jurerait le contraire sur la tête de sa maman, a imploré du regard Mr Sécu (alias Kinder) pour venir le sauver d’une cravate bien engagée.
Après une descente rondement menée, notre éclaireur du jour (enfin … de l’après-midi) nous annonce : « Bon ! A partir de là c’est pépère… il n’y a plus rien ! ». Résultat : tout le monde se relâche, et l’ami Cyril se retrouve à l’eau à baigner dans un passage 4 avec un peu d’angoisse dans le regard lorsqu’il a s’agit de nager dans le petit rappel du bas du seuil.
Pour finir la session notre ami Bougeard nous a payé un pot rapport au bain de la veille…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
La journée commence par un réveil tardif, certains attaquent directement par le p'tit dej, d'autres par aller voir le niveau du Rabioux (Adama et Stephan). Mais finalement ces derniers, tout fainéants qu'ils sont, n'ont même pas pris la peine de mettre leur bateau à l'eau ; alors que les gourmands, eux, se sont décidés à descendre la Durance de St Clément au Rabioux. Petite descente sympa avec départ à l'américaine de 5 mètres de haut pour les "pieds Nickelés" et quelques bains (autant que de portefeuilles) pour les deux doyens de l'expédition, Gérard et Pierre.
Après une petite collation, départ pour le Guil mais sans les baigneurs qui ont préféré travailler leur esquimautage. Nos deux freestylers (vous vous souvenez : les fainéants du matin…) décident de descendre le passage du tunnel : l’un perd sa pagaie achetée la veille (cf Journée du samedi 31/07/04, pas de panique Mimi, on a récupéré la pagaie) l’autre, même s’il jurerait le contraire sur la tête de sa maman, a imploré du regard Mr Sécu (alias Kinder) pour venir le sauver d’une cravate bien engagée.
Après une descente rondement menée, notre éclaireur du jour (enfin … de l’après-midi) nous annonce : « Bon ! A partir de là c’est pépère… il n’y a plus rien ! ». Résultat : tout le monde se relâche, et l’ami Cyril se retrouve à l’eau à baigner dans un passage 4 avec un peu d’angoisse dans le regard lorsqu’il a s’agit de nager dans le petit rappel du bas du seuil.
Pour finir la session notre ami Bougeard nous a payé un pot rapport au bain de la veille…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Bah vous en avez bien de la chance... Nous sommes allés samedi avec Jean à Cergy piur profiter d'un beau soleil ... Avec les orages en perspectives, on va voir si Joinville marche ou noisiel, sinon re cergy samedi...; bah on fait avec se qu'on a ....
amusez vous bien et profiter bien de la baignade....
Laurent
amusez vous bien et profiter bien de la baignade....
Laurent
Journée du lundi 02/08/04
Au programme d’aujourd’hui l’Ubaye, une cinquantaine de km sur les rives du lac de Serre Ponçon avant de remonter la vallée de notre rivière du jour pour le parcours Martinet Lauzet. Comme depuis notre arrivée, s’équiper pour naviguer se transforme en sauna.
Au départ nous étions 10 mais 3 vagues, 4 rochers et 1 bain plus tard on en enlève un (Pierre) qui vient de se retourner un doigt, mais rien de grave. 200m plus loin et un rapide de plus c’est Gérard qui nous laisse continuer notre rivière suite à un bain sans gravité.
Pendant notre descente les vagues et rouleaux ont permis aux rodéo-boys de frimer devant les rafts féminin. Cyril a découvert les joies du blunt et son coté péniche sécurisante facile à maniée. Arnaud ayant vue son bateau fétiche s’envolé s’est rabatu sur un disco alors que nos deux siamois Julien et Jérôme ; bliss rouge et jaune, blouson rouge, et cerveau déconnecté cherchent « à prendre leur mère » ce qu’ils n’arriveront pas faire ce jour, mais ce n’est que partie remise... Conclusion : une belle descente en classe III passages 4 appréciée de tous, dans un paysage des plus ravissants.
A 16h on débute notre pic nique tant attendu par nos estomacs, 1/2 pastèque, terrine, et jeunes femmes en tenue légère pour le plaisir de nos yeux expérimentés…
Sur le chemin du retour, un petit passage chez Kerk : 1/2 heure plus tard nous ressortons du magasin avec un Kendo qui a à peine servi (malheureusement il n’est pas bleu) et de la mousse pour remettre le disco en état. En arrivant au campement, Arnaud nous a gratifié d’un large sourire en découvrant le nouveau bateau vert qui deviendra sûrement un ami fidèle… Mais, petite touche négative, notre tonnelle à 12 € s’est prise pour un parapente et l’armature est en piteux état !
La journée ne s’arrête pas là et 5 d’entre nous partent sur les coups 22h pour la fête foraine d’Embrun. Après une prise de hauteur sur la fête et ses occupantes grâce à un manège à sensation, les autos tamponneuses nous ont permis de faire un peu de rentre dedans !!!
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Au programme d’aujourd’hui l’Ubaye, une cinquantaine de km sur les rives du lac de Serre Ponçon avant de remonter la vallée de notre rivière du jour pour le parcours Martinet Lauzet. Comme depuis notre arrivée, s’équiper pour naviguer se transforme en sauna.
Au départ nous étions 10 mais 3 vagues, 4 rochers et 1 bain plus tard on en enlève un (Pierre) qui vient de se retourner un doigt, mais rien de grave. 200m plus loin et un rapide de plus c’est Gérard qui nous laisse continuer notre rivière suite à un bain sans gravité.
Pendant notre descente les vagues et rouleaux ont permis aux rodéo-boys de frimer devant les rafts féminin. Cyril a découvert les joies du blunt et son coté péniche sécurisante facile à maniée. Arnaud ayant vue son bateau fétiche s’envolé s’est rabatu sur un disco alors que nos deux siamois Julien et Jérôme ; bliss rouge et jaune, blouson rouge, et cerveau déconnecté cherchent « à prendre leur mère » ce qu’ils n’arriveront pas faire ce jour, mais ce n’est que partie remise... Conclusion : une belle descente en classe III passages 4 appréciée de tous, dans un paysage des plus ravissants.
A 16h on débute notre pic nique tant attendu par nos estomacs, 1/2 pastèque, terrine, et jeunes femmes en tenue légère pour le plaisir de nos yeux expérimentés…
Sur le chemin du retour, un petit passage chez Kerk : 1/2 heure plus tard nous ressortons du magasin avec un Kendo qui a à peine servi (malheureusement il n’est pas bleu) et de la mousse pour remettre le disco en état. En arrivant au campement, Arnaud nous a gratifié d’un large sourire en découvrant le nouveau bateau vert qui deviendra sûrement un ami fidèle… Mais, petite touche négative, notre tonnelle à 12 € s’est prise pour un parapente et l’armature est en piteux état !
La journée ne s’arrête pas là et 5 d’entre nous partent sur les coups 22h pour la fête foraine d’Embrun. Après une prise de hauteur sur la fête et ses occupantes grâce à un manège à sensation, les autos tamponneuses nous ont permis de faire un peu de rentre dedans !!!
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Journée du mardi 3/08/04
La journée débute comme dimanche par une descente formation St Clément Rabioux réalisée sans dessalage ce qui est une première pour Gérard et Alain. Adama et Stephan se sont, quant à eux, offert une session freestyle enfin c’est ce qu’ils disent car on ne les a pas vus en arrivant !!!
L’après midi tout le monde était d’accord pour se faire la Gyronde, sauf que Gérard a raté un changement de direction. Et on s’est retrouvé où ? à l’arrivée du Gyr rivière de tous les plaisirs mais aussi de toutes les frayeurs. Et là, les quelques malades qui cherchaient « à prendre leur mère » s’exclamèrent : « Et si on allait voir en haut à quoi ça ressemble !! ». Banco, demi tour aussitôt fait pour remonter au départ du Gyr. Et là ce qui devait arriver, arriva et 5 guerriers Stephan, Adama, Kinder et les deux souffleurs de cette idée, Jérôme et Julien s’équipèrent pour affronter l’eau GLACIALE descendant des Ecrins. Pour donner une vague idée de ce qu’on ressent sur le Gyr, il faut s’imaginer en haut d’une piste noire verglacée avec un degré de pente vertigineux et sur laquelle s’arrêter en milieu de pente tient de l’exploit ou de la chance c’est comme on veut. Vous ajoutez quelques (heu…, beaucoup) de mètres cubes d’eau et des rochers énormes créant des gouffres et vous obtenez le Gyr avec un faible niveau d’eau. Niveau sensations une fois à bord, tout est extrême : Une excitation extrême une grosse peur dans le ventre, de l’eau extrêmement froide, des kayakistes réchauffés par un effort de tous les instants… Nous n’avons pas vu beaucoup le paysage, car nous étions trop occupés à surveiller la prochaine vague, puis la suivante, puis celle d’après, puis … Ca n’arrêtait pas ! Certains d’entre nous ont même vu le dessous des vagues à plusieurs reprises : Jérôme 2 esquimautages et Julien un esquimautage et un bon gros bain à l’arrivée. D’ailleurs suite à ce dernier bain, le Bliss de Julien a décidé de continuer l’aventure seul (ou presque… car il était accompagné de sa fidèle pagaie) et d’aller voir ce qui se passait 600 m plus bas en haut de la retenue hydroélectrique. Mais encore une fois le grand sorcier Adama nous a prouvé sa force en allant récupérer le bateau joueur alors qu’une pluie quasi diluvienne venait s’abattre sur la vallée…
De retour sur la terre ferme et avec tous les bateaux mais une pagaie en moins (on ne peut pas tout avoir) notre baigneur dans sa grand bonté nous offre un pot dans le bar le plus proche.
En récompense de notre courage, nous décidons de nous arrêter dans un magasin de kayak à l’Argentière devant un petit muret d’une cinquantaine de cm de haut. Le matos étant cher et peu intéressant, nous décidons rapidement de repartir au campement. Mr Bougeard prend le volant, tourne la clé, démarre le moteur débraye, BOUMMMM !!! Ca y est nous venons de nous prendre le muret décrit quelques lignes plus haut… (Heureusement seul le pare choc a été abîmé. Mais un peu enragé, et vexé Stephan décide de laisser le volant à Kinder pour le retour.
Pour la fin de journée il n’y a pas grand chose à raconter ; tout le monde était un peu fatigué, et après un repas mexicain le groupe se scinde en deux : d’une part, un groupe de cinéphiles amateurs est parti regarder I-Robot (ce qui nous a valu un débat passionné dans le mini-bus au retour) ; d’autre part, un groupe d’amateur d’oreiller a préféré le confort des matelas…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Le dicton du jour ; Si tu veux apprendre à nager fait le avant le Gyr, si tu veux acheter une pagaie fait le après.
La journée débute comme dimanche par une descente formation St Clément Rabioux réalisée sans dessalage ce qui est une première pour Gérard et Alain. Adama et Stephan se sont, quant à eux, offert une session freestyle enfin c’est ce qu’ils disent car on ne les a pas vus en arrivant !!!
L’après midi tout le monde était d’accord pour se faire la Gyronde, sauf que Gérard a raté un changement de direction. Et on s’est retrouvé où ? à l’arrivée du Gyr rivière de tous les plaisirs mais aussi de toutes les frayeurs. Et là, les quelques malades qui cherchaient « à prendre leur mère » s’exclamèrent : « Et si on allait voir en haut à quoi ça ressemble !! ». Banco, demi tour aussitôt fait pour remonter au départ du Gyr. Et là ce qui devait arriver, arriva et 5 guerriers Stephan, Adama, Kinder et les deux souffleurs de cette idée, Jérôme et Julien s’équipèrent pour affronter l’eau GLACIALE descendant des Ecrins. Pour donner une vague idée de ce qu’on ressent sur le Gyr, il faut s’imaginer en haut d’une piste noire verglacée avec un degré de pente vertigineux et sur laquelle s’arrêter en milieu de pente tient de l’exploit ou de la chance c’est comme on veut. Vous ajoutez quelques (heu…, beaucoup) de mètres cubes d’eau et des rochers énormes créant des gouffres et vous obtenez le Gyr avec un faible niveau d’eau. Niveau sensations une fois à bord, tout est extrême : Une excitation extrême une grosse peur dans le ventre, de l’eau extrêmement froide, des kayakistes réchauffés par un effort de tous les instants… Nous n’avons pas vu beaucoup le paysage, car nous étions trop occupés à surveiller la prochaine vague, puis la suivante, puis celle d’après, puis … Ca n’arrêtait pas ! Certains d’entre nous ont même vu le dessous des vagues à plusieurs reprises : Jérôme 2 esquimautages et Julien un esquimautage et un bon gros bain à l’arrivée. D’ailleurs suite à ce dernier bain, le Bliss de Julien a décidé de continuer l’aventure seul (ou presque… car il était accompagné de sa fidèle pagaie) et d’aller voir ce qui se passait 600 m plus bas en haut de la retenue hydroélectrique. Mais encore une fois le grand sorcier Adama nous a prouvé sa force en allant récupérer le bateau joueur alors qu’une pluie quasi diluvienne venait s’abattre sur la vallée…
De retour sur la terre ferme et avec tous les bateaux mais une pagaie en moins (on ne peut pas tout avoir) notre baigneur dans sa grand bonté nous offre un pot dans le bar le plus proche.
En récompense de notre courage, nous décidons de nous arrêter dans un magasin de kayak à l’Argentière devant un petit muret d’une cinquantaine de cm de haut. Le matos étant cher et peu intéressant, nous décidons rapidement de repartir au campement. Mr Bougeard prend le volant, tourne la clé, démarre le moteur débraye, BOUMMMM !!! Ca y est nous venons de nous prendre le muret décrit quelques lignes plus haut… (Heureusement seul le pare choc a été abîmé. Mais un peu enragé, et vexé Stephan décide de laisser le volant à Kinder pour le retour.
Pour la fin de journée il n’y a pas grand chose à raconter ; tout le monde était un peu fatigué, et après un repas mexicain le groupe se scinde en deux : d’une part, un groupe de cinéphiles amateurs est parti regarder I-Robot (ce qui nous a valu un débat passionné dans le mini-bus au retour) ; d’autre part, un groupe d’amateur d’oreiller a préféré le confort des matelas…
A demain ! pour de nouvelles aventures…
Le dicton du jour ; Si tu veux apprendre à nager fait le avant le Gyr, si tu veux acheter une pagaie fait le après.
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